De nos jours, le favoritisme a véritablement pris place dans la société. Des recrutements aux différents services administratifs, le favoritisme est à l’honneur. Cette pratique ruine la vie sociale que le bon fonctionnement de l’administration publique.
Pour bénéficier des services aussi bien de l’administration publique que le secteur privé, il faut absolument des relations pour faciliter les choses. Cela est devenu une habitude dont tout le monde semble se conformer.
Si pour certains, cette pratique permet de rendre service aux proches et connaissances, il faut dire qu’elle contribue à la promotion de l’incompétence et combat l’égalité de chance.
La plupart des gens parachutés à des postes de responsabilité par favoritisme sont généralement soit des incompétents soit des faux-diplômés ou pire encore des analphabètes n’ayant aucune connaissance et aucune expérience à la fonction en question.
A chaque fois qu’une institution publique ou privée lance un avis de recrutement et pendant que certains candidats comptent naïvement sur leurs compétences, d’autres comptent sur les parents bien placés qui se chargeront de faire parvenir des listes.
Au-delà du recrutement, plusieurs autres aspects existent. Du plus petit grade d’administration civile jusqu’au sommet, le favoritisme, érigé plus ou moins en règle de jeu, bat son plein.
Si longtemps cette pratique connue de tous existait, elle n’a pas été dénoncée comme il se doit raison pour laquelle elle ne fait que se perpétuer tout en handicapant considérablement et véritablement le bon fonctionnement de l’administration publique.
L’administration que nous avons étudié est délaissé et saboté par les personnes hors domaine. Quant est une continuité non une fine quelque’on.