À travers une circulaire adressée aux directeurs des hôpitaux et délégués provinciaux de santé, le ministère de la santé publique et de la prévention, via son secrétaire général, indique qu’il est formellement interdit de mettre à la disposition des usagers les statistiques relatives aux nombres des décès et blessés liés aux tirs de joie marquant la célébration de la proclamation des résultats provisoires des élections présidentielles du 06 Mai.
Aussi, est-il interdit aux médias de photographier ou interviewer les blessés internés dans les formations sanitaires sans autorisation expresse du ministère de la santé publique et de la prévention.
Cette nouvelle est très mal accueillie du côté de la presse qui qualifie que c’est une atteinte aux droits et libertés d’expression.