Coup de tonnerre dans le landerneau occultiste africain : le Mali vient d’inaugurer officiellement à Bamako un centre dédié à l’apprentissage et à la pratique de la sorcellerie, construit avec un budget colossal de 500 millions FCFA. Soutenu par les plus hautes autorités, ce projet controversé vise à « libérer le potentiel magique du continent« . Explications.
« Le Centre africain de sorcellerie sera notre bombe atomique spirituelle pour libérer le continent du joue de puissances hostiles » a déclaré lors de l’inauguration Mamadou Babou Niang, célèbre marabout considéré comme le « Pape de la sorcellerie africaine » et instigateur du projet.
Un centre ultra-moderne dédié aux sciences occultes
Construit sur une superficie de 500 m2 aux portes de Bamako, ce complexe ultramoderne comprend un imposant bâtiment abritant des salles de cours, des amphithéâtres, des laboratoires dédiés aux pratiques alchimiques et un vaste hall d’exposition d’artéfacts.
Son architecture moderne intègre néanmoins des éléments traditionnels comme des statuettes protectrices et des parois ornées de symboles.
Avec son budget pharaonique, ce centre à la pointe de la sorcellerie africaine dispose des équipements les plus avancés pour l’enseignement des sciences magiques.
Transmettre les secrets ancestraux aux nouvelles générations
Selon son promoteur Mamadou Babou Niang, l’objectif est de permettre « la transmission des pouvoirs ancestraux africains aux jeunes générations », de démystifier certains préjugés et de libérer le véritable potentiel magique du continent, capable de rivaliser avec les plus grandes puissances.
Le centre accueillera les plus grands maîtres sorciers du continent, gardiens de savoirs millénaires jalousement préservés. Loin des clichés, cette université de la sorcellerie se veut « un creuset d’innovations au service du développement de l’Afrique », en misant sur son exceptionnel capital ésotérique.
Soutien officiel des autorités maliennes
Autre signe de la reconnaissance croissante des sciences occultes : ce centre bénéficie du soutien officiel des autorités maliennes, représentées lors de l’inauguration par le Ministre de l’artisanat, de la culture, de l’industrie hôtelière et du tourisme, Andogoly Guindo.
Preuve de l’adhésion des sphères dirigeantes aux thèses de Mamadou Babou Niang sur le « rôle historique et salvateur de la sorcellerie pour l’émergence de l’Afrique ».
Avec l’inauguration de ce Centre africain de sorcellerie, le Mali frappe un grand coup et s’impose comme la nouvelle « Mecque de la magie » sur le continent. Les autres pays observeront avec attention cette expérience controversée aux portées encore insoupçonnées.