Garçon Salanga, un jeune artiste tchadien qui a su concilier études et musique avec des sonorités alliant rythmes traditionnels et modernes qui font lever de plus en plus de foules.
Son premier single Irène, sorti en 2017 est bien connu du public mélomane. Depuis, il a été suivi de SOS en 2018 et Mamy Yangha en 2019.
Ce dernier single, très adulé du public et des mélomanes, a contribué à donner au jeune artiste une dimension supplémentaire, lui ouvrant par la même occasion la voie de nombreux festivals (Koura Gosso, Kouleur Acoustique, Tokna Massana…).
SOBDIBEN Garçon Salanga, à l’état civil Sobdibé Mallaye ou Sobdi pour les intimes, est né le 22 juin 1996 à Bongor et grandi dans la même ville. Ce jeune garçon à la voix de rossignol, talentueux commence sa musicale très tôt en apportant une touche particulière sur la Rumba congolaise et inscrit petit à petit son nom dans le showbiz tchadien.
Passionné de la musique, ce jeune chanteur emprunta très vite les pas de son grand frère qui fut l’ancien chanteur principal du feu Jorio Star et l’actuel chef d’orchestre de la Bamba Système du feu Jorio Star,
connu sous le nom de Titi le défi. Ce jeune n’a pas eu de parcours en groupes de musique avant de faire une carrière solo.
Déjà en classe de CE, à 8 ans et demi, le petit Bouba comme on l’appelle dans les rues de Bongor embrasse la danse et fut sollicité chaque fois par ses ainés lors des soirées culturelles et académiques.
En 2009, il fait ses premiers pas dans la musique comme interprète des chansons religieuses et mondaines. Le jeune Bouba tombe amoureux
de la Rumba congolaise et a pour influences principales feu Mirage, Fally Ipupa, Ferre Gola, Fabregas le métis noir, feu Talino Manu et Cidson Alguewi.
Après l’obtention de son Baccalauréat (A4) en 2015, il s’inscrit en faculté de droit à l’Université Adam Barka d’Abéché pour l’année 2015-2016 et s’envola ensuite pour le Cameroun précisément à Ngaoundéré où il déposa ses valises et fut retenu à la Faculté des
Sciences Juridiques et Politiques, actuellement titulaire d’une licence en
Droit Privé, rare sont ces jeunes qui allient musique et études mais ce jeune a su mixer les deux, car la musique pour lui est une passion.
Il fait aussi partie de la chorale Universitaire de l’Université de Ngaoundéré. Très vite repéré par sa mélodieuse voix, il fut solliciter pour représenter l’Université à une compétition opposant plusieurs Universités du Cameroun janvier 2019 où il occupa la 2e place du meilleur chanteur.
En 2017, il signe son entrée en solo dans le milieu musical tchadien avec son 1er Single baptisé « IRENE », dont le refrain est facilement encré dans la tête des mélomanes. S’en suit « SOS » en 2018 et le meilleur Bijou du public de Ngaoundéré, Bongor et N’Djamena le titre « MAMY
YANGHA » en 2019, à travers ce single le prodige Sobdi inscrit officiellement son nom dans le Showbiz tchadien.
Il a collaboré avec Rolenzo Nkosi et Serge Mockryzi sur le titre « FEMME AFRICAINE » en 2018 et « BARA » de la
Dream Team composée d’El-Rod, MP Felixthon, Cris Man, Serge Mockryzi, Rolenzo Nkosi et Mac Junior en 2019.
L’artiste Sobdibé entend offrir à ses mélomanes, qui n’en attendaient pas moins, une occasion de communier à ses rythmes. Au-delà du concert, l’artiste compte produire et offrir au marché musical son premier clip. A cet effet, il compte non seulement sur ses mélomanes mais aussi et surtout sur la contribution des mécènes et bonnes volontés. Outre les billets, divers gadgets promotionnels seront mis en vente.