Chaque année, la ville de N’Djaména n’échappe pas à la problématique d’inondations. Les eaux qui ne coulent pas dans certains quartiers de la ville provoquent d’autres problèmes aux habitants.
En plus d’inondations dont ils sont victimes chaque année, les habitants de la cité capitale font face à d’autres problèmes causés par celles-ci. Par manque des canalisations ou du curage des caniveaux, les eaux des pluies sont stagnées sur place et deviennent source de maux pour la population.
D’abord ces eaux stagnantes dégagent des odeurs nauséabondes. Rien que l’odeur peut déjà causer des problèmes de santé pour ces habitants. Elles sont sources de multiplication des moustiques, qui, à leur tour provoquent le paludisme. Ces eaux stagnantes sont quelquefois sources des maladies diarrhéiques par leur dangerosité à produire des bactéries.
Étant dangereuses et sources des différents problèmes d’ordre sanitaire pour la population, les autorités sont appelées à traiter ces eaux stagnantes afin d’exposer la population aux différentes maladies liées à elles. La population, par acte de civisme et de propreté est également interpellée pour trouver des solutions pour ce problème ne cesse de perdurer.