Ce sont les vendeuses des légumes, des fruits et bien bien d’autres articles qui occupent la voie à côté de l’échangeur. Sur cette voie, l’on constate aussi les vendeurs des chaussures et des habits, des vendeurs ambulants qui obstruent sans inquiétude. Cette voie est occupée sous l’œil impuissant des agents de la police nationale et de la police municipale. Cette voie est transformée en supermarché par les occupants.
Emprunter cet axe est un casse-tête pour les usagers. Ces déguerpis occupent cette voie, car après leur déguerpissement aucune solution n’est proposée par les autorités. Selon eux, ils occupent cette voie parce qu’ils ne savent où aller vendre leurs marchandises.
Pour les usagers, cette situation devient intenable. Ils se demandent comment laisser les gens occuper de manière anarchique la voie publique. Non seulement ces vendeurs et vendeuses occupent illégalement cette voie, ils la salissent et perturbent la circulation sur cette voie d’autres sont stupéfaits et ne comprennent pas le laxisme des autorités communales. Bien que les agents municipaux sont présents sur le lieu, ils n’osent même pas agir comme si ces vendeurs sont au dessus de la loi.
Certains usagers rejettent la faute sur ceux qui ont donné l’ordre de déguerpissement. Pour eux, les autorités ont renvoyé les vendeurs sans apporter des mesures d’accompagnement pour qu’ils puissent exercer leurs activités. Car, ce sont des personnes qui vivent au jour le jour.
Face à cette situation que vivent les usagers de cette voie, les autorités communales sont appelées à prendre leurs responsabilités afin de permettre aux usagers d’emprunter en toute tranquillité cette voie où l’État a mis des moyens conséquents pour le bitumage.