Le campus de Toukra, le seul joyau architectural universitaire du pays manque d’entretien. Les caniveaux de ce campus n’attirent pas une attention particulière dans l’entretien.
Il y a une dizaine d’années, le campus de Toukra est sorti des terres. L’État a investi une somme faramineuse pour la construction de cette merveille. Malheureusement, quelques années plus tard, ce campus manque d’entretien, plus particulièrement les caniveaux.
Bouchés par déchets de toutes sortes et des eaux stagnantes, les caniveaux du campus de Toukra dégagent une odeur nauséabonde. Les bouteilles en plastique et bien d’autres jonchent ces caniveau élisent domicile dans ces caniveaux. L’odeur qui s’y dégage est insupportable. Les salles se trouvant à proximité de ces caniveaux dégagent des odeurs comme si ces caniveaux se trouvaient à l’intérieur de ces salles.
Le comble est que quelquefois ce sont les étudiants eux-mêmes qui jettent ces déchets dans ces caniveaux, d’une part mais aussi par le fait qu’une quantité importante des déchets plastiques est utilisée dans ce campus. Lorsque le vent souffle, ces déchets se retrouvent dans les caniveaux.
Face à cette situation qui ne reflète pas l’image de ce que devait être ce grand site universitaire du Tchad, les uns et les autre sont appelés à adopter un comportement responsable et civique afin que les étudiants aient un environnement propre et sain pour étudier.