«Pendant cinq années de correspondance, j’ai toujours attaché une importance capitale à tendre le micro à ceux qu’on appelle « les sans-voix », qui ont des choses à dire, et qui n’ont malheureusement pas encore assez de place dans les médias. Très honorée d’avoir recueilli des témoignages passionnants, touchants, tristes, révoltants mais aussi intimes et inspirants. Bref, de raconter ce N’Djamena du quotidien où on « se défend ». Merci à ceux qui se sont livrés au micro et qui croient encore au métier du journalisme et à son utilité, » a-t-elle écrit via sa page Facebook.
Je ne pas bien compris
Je voulais savoir le mobile du départ ? C’est une fin de mission ?
J’ai suivais madame Kibangula depuis la République démocratique du Congo que j’ose croire partager avec elle une même affinité, je la témoigne mes sincères félicitations pour son courage d’être loin de sa famille pour des raisons professionnelles, je hâte de dire qu’elle viens bien de mériter sa place dans cette société où elle était obligée de se battre ! La rencontrer un jour serait une journée fructueuse . En attendant céla, que la température t’accepte pour la suite madame ✋✋
Très touché par votre travail madame.
Moi j’aime beaucoup écouter son reportage une femme exceptionnelle,sa voix et sa qualité elle toujours courageuse Aurélie tu nous sa quitté tôt pour nous sa tchad,tchoui depuis au tchad