Le poisson, aliment de première nécessité dans la consommation des ménages de la population lacustre est devenu très rare depuis quelques mois.
Cette rareté s’explique par la présence massive des »femmes mosso » de Ndjamena qui viennent en file indienne.
Le marché de poisson se fait depuis ces derniers temps la nuit ou par négociation avec les pêcheurs dans les sites de la pêche.
Ce qui prive les consommateurs locaux et inquiète très bon nombre des ménages. Le poisson de 200frs autrefois se vend aujourd’hui à 1000frs ou 1250frs.