Dans un communiqué de presse, l’Association pour la Consolidation des Acquis et la Promotion des Politiques Publiques (ACAPP) hausse le ton sur la dégradation des routes du pays en général et celle du Sud en particulier.
Selon L’ACAPP, les routes du Tchad dans leur ensemble et celle du Sud qui ravitaille la capitale, notamment la route N’Djamena-Guelendeng ou Pala-Léré sont dans un état impraticable et cela menace la sécurité publique.
«Le ministre des infrastructures et des transports sont incapables de garder le rythme tellement le réseau routier N’djaména-Guelendeng se détériore alors que les automobilistes payent régulièrement les péages routiers, » s’indigne le communiqué.
Aussi, L’ACAPP s’interroge qu’à quoi sert l’argent consacré depuis des décennies à l’entretien et à la surveillance des routes et structures ces dernières années.
Face à ce danger dont vivent les Tchadiens, L’ACAPP interpelle le ministre des infrastructures, le premier ministre de transition et les plus hautes autorités de l’État de s’investir personnellement avant d’éviter le pire.