Le département d’État des États-Unis d’Amérique s’est indigné à travers un communiqué rendu public le 04 janvier 2024. Aux termes de ce communiqué, il a fait comprendre que la promotion de la liberté de religion ou de conviction est un objectif central de la politique étrangère des États-Unis depuis que le Congrès à adopté et promulgué la loi sur la liberté de religion internationale (International Religious Freedom Act) en 1998.
Dans ce cadre plusieurs pays sont cités au titre des pays préoccupants pour avoir commis ou toléré des violations particulièrement graves de la liberté de religion. Outre les pays accusés des violations de liberté de religion, d’autres font l’objet d’une surveillance spéciale pour avoir commis ou toléré ces principes défendus par les États-Unis. Le département d’État a également cité plusieurs organisations terroristes au titre des entités particulièrement préoccupantes.
Selon les termes de ce communiqué, le département d’État américain a relevé avoir constater aussi d’importantes violations de la liberté de religion dans des pays qui ne font pas l’objet de désignations.
À cet effet, le département d’État a exhorté les gouvernements de ces pays à mettre fin aux exactions telles que les agressions contre les membres des communautés religieuses minoritaires et leurs lieux de culte, les violations communautaires et les emprisonnements prolongés pour s’être exprimés de manière pacifique, la répression transnationale et les appels à la violence contre les communautés religieuses, ainsi que les violations, dans des nombreux endroits du monde.
Le département d’État américain a expliqué que les défis à la liberté de religion dans le monde sont structurels, systémiques et profondément enracinés.
La diplomatie américaine estime que grâce à un engagement réfléchi et soutenu de la part de ceux qui se refusent à accepter le statu quo de la haine, l’intolérance et la persécution, elle verra un jour un monde où tous les peuples vivront dans la dignité et l’égalité.