Brève : “On ne peut pas faire des élections sans la sécurité. Si vous avez une baguette magique qui peut nous assurer la sécurité le plus tôt possible, on organise les élections”, a affirmé Apollinaire Joachimson Kyélem de Tambèla, devant l’Assemblée législative de transition.
“Si on organise des élections actuellement, alors qu’une partie du territoire est inaccessible, on va dire que celui qui sera élu est mal élu”, a développé le Premier ministre, mardi.
“Pour que les élections soient acceptées, il faut qu’au moins l’essentiel du pays puisse participer”, a-t-il ajouté