Du manque d’entretien des aliments dans les marchés de N’Djaména, on n’en a parlera jamais assez. Les viandes, pains et bien d’autres aliments sont exposés à tous les dangers possibles. Les fruits et les légumes sont étalés à même le sol.
Dans tous les marchés, le constat est le même. Les vendeurs et vendeuses de ces produits qui entrent chaque jour dans la consommation des N’Djaménois foulent aux pieds les règles d’hygiène les plus élémentaires au grand dam des acheteurs.
Alors que N’Djaména est désignée comme la capitale la plus polluée au monde, les aliments qui doivent bénéficier d’une extrême protection sont exposés non seulement aux mouches et à la poussière mais aux microbes. Ce manque d’hygiène des aliments pourrait avoir multiples conséquences sanitaires sur la population à moyen et long terme.
De ce fait, les vendeurs et vendeuses doivent assumer leurs responsabilités en prenant des mesures pour protéger ces aliments. Les clients doivent exiger de plus en plus de propreté dans ce qu’ils consomment, car ne dit-on pas que : ” le client est roi ” ? Les services d’hygiène et d’assainissement de la commune de N’Djaména sont interpellés pour assumer leurs responsabilités qui sont les leurs afin d’avoir des aliments dans des bonnes conditions dans les marchés.
C’est bien ça qui fait beaucoup de mortalité à N’djamena.au lieu que les responsables communautaire prennent leur responsabilité ils arnaque le petit vendeur.